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Scientific Project Manager

Myriam Ly Le Moal

Neurosciences et maladies rares

“Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y parviennent » Henri Dunant, fondateur de la Croix-Rouge. Cette phrase est ma devise car je m’efforce de créer des synergies innovantes dans la recherche afin de changer l’avenir des patients atteints de troubles cérébraux dévastateurs et de maladies rares. Mon travail quotidien consiste à comprendre comment les esprits les plus brillants peuvent unir leurs forces pour transformer idées et intentions en résultats concrets, afin d’apporter de manière significative et concrète les plus hauts niveaux d’avancées scientifiques à nos patients.”

Rôle à l’Institut Roche et parcours professionnel :

Je suis neurobiologiste de formation avec un double cursus en administration des affaires de l’université Pierre & Marie Curie (université Paris-Sorbonne). J’ai également étudié le journalisme et la communication scientifique à l’université Paris Diderot (Paris V). Après un passage en laboratoire, j’ai été quelque temps ingénieur de recherche à l’Inserm où j’ai abordé les sujets big data, analyse de data et qualité de data dans les systèmes de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, sur un projet regroupant 83 centres médicaux en Île-de-France. J’ai ensuite rejoint le bureau exécutif de l’Institut Pasteur où j’ai occupé le poste de gestionnaire de subventions d’innovation. Là, j’étais chargée de la mise en place de consortiums transformateurs – internes, externes et avec le réseau international des Instituts Pasteur à travers le monde – dans le but de concourir pour des subventions internationales publiques et privées.

J’ai rejoint l’Institut Roche en 2016 en tant que chef de projet scientifique senior. Mon rôle depuis est de comprendre les besoins profonds de la R&D de Roche et le paysage de la recherche académique dans le domaine des neurosciences et des maladies rares afin de créer des projets « gagnants-gagnants » qui, nous en sommes convaincus, bénéficieront de manière significative aux patients. En raison de nombreuses contingences externes et considérations particulières, chaque collaboration s’accompagne d’obstacles. Mon rôle est de les lever pour que ces alliances et collaborations fonctionnent et, finalement, délivrent des connaissances scientifiques de pointe, non seulement pour créer du savoir, mais aussi pour que les patients en bénéficient au quotidien.

Objectif à l’Institut Roche :

Partenariats de recherche en neurosciences et maladies rares, création et gestion d’alliances.

  1. Annoussamy, M., et al. (2021). “Natural history of Type 2 and 3 spinal muscular atrophy: 2-year NatHis-SMA study.” Ann Clin Transl Neurol 8(2): 359-373.
  2. Baltazar, M., et al. (2021). “”Reading the Mind in the Eyes” in Autistic Adults is Modulated by Valence and Difficulty: An InFoR Study.” Autism Res 14(2): 380-388.
  3. Amestoy, A., et al. (2021). “Visual attention and inhibitory control in children, teenagers and adults with autism without intellectual disability: results of oculomotor tasks from a 2-year longitudinal follow-up study (InFoR).” Mol Autism 12(1): 71.
  4. Lefebvre, A., et al. (2021). “Discriminant value of repetitive behaviors in families with autism spectrum disorder and obsessional compulsive disorder probands.” Autism Res 14(11): 2373-2382.
  5. Briot, K., et al. (2020). “Social Anxiety in Children and Adolescents With Autism Spectrum Disorders Contribute to Impairments in Social Communication and Social Motivation.” Front Psychiatry 11: 710.
  6. Laidi, C., et al. (2019). “Decreased Cortical Thickness in the Anterior Cingulate Cortex in Adults with Autism.” J Autism Dev Disord 49(4): 1402-1409.
  7. Bennabi, M., et al. (2019). “Persistence of dysfunctional natural killer cells in adults with high-functioning autism spectrum disorders: stigma/consequence of unresolved early infectious events?” Mol Autism 10: 22.
  8. d’Albis, M. A., et al. (2018). “Local structural connectivity is associated with social cognition in autism spectrum disorder.” Brain 141(12): 3472-3481.
  9. M. Ly, B. Delatour . Particular types of beta-amyloid oligomers are formed in Alzheimer’s disease-like physiopathological conditions Alzheimer’s and Dementia 07/2013; 9(4):P196. 17.47 Impact Factor
  10. M. Ly, C. Delarasse, B. Delatour. APPxPS1dE9 mice display neuronal dysfunction at an asymptomatic state of amloïdosis. Alzheimer’s and Dementia 07/2013; 9(4):P712. 17.47 Impact Factor
  11. S. Epelbaum, P. Lacor, M. Ly, C. Duyckaerts, B. Delatour. Acute functional and morphological impact of Aß oligomers. Alzheimer’s and Dementia 07/2012; 8(4):P297. DOI:10.1016/j.jalz.2012.05.802 · 17.47 Impact Factor
  12. Faure, L. Verret, B. Bozon, N. El Tannir El Tayara, M. Ly, F. Kober, M. Dhenain, C. Rampon, B. Delatour. (2011). Impaired neurogenesis, neuronal loss, and brain functional deficits in the APPxPS1-Ki mouse model of Alzheimer’s disease. Neurobiology of Aging 03/2011; 32(3) 4.85 Impact Factor
  13. M. Ly, P. Lacor, A. Krezymon, C. Rampon, B. Delatour, C. Duyckaerts. Natural history of Aßplaque formation: oligomers accumulation precedes fibrillar deposits, Alzheimer’s and Dementia 07/2011; 7(4).
  14. B. Delatour, M. Ly, C. Duyckaerts. Functional correlations of intracellular Aß peptide in transgenic mouse models Alzheimer’s and Dementia 07/2011; 7(4). 17.47 Impact Factor
  15. Delatour, M. Ly, C. Duyckaerts (2010) Aggregated versus soluble and intracellular species of the amyloid ß peptide: lessons from the APPxPS1-Ki model Alzheimer’s and Dementia 07/2010; 6(4).
  16. Le Cudennec, A. Faure, M. Ly, B. Delatour (2008). One-year longitudinal evaluation of sensorimotor functions in APP751SL transgenic mice. Genes Brain and Behavior 03/2008; 7 Suppl 1:83-91.
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